Naruto Gaiden Maître des Règles
Nombre de messages : 411 Date d'inscription : 26/01/2008
| Sujet: [Lieu] Les rouleaux du Bonheur (magasin et atelier de calligraphie) Ven 1 Fév - 4:59 | |
| C'était l'une des rues de Kiri no Kuni la plus parcourue par les enfants ou par les ninjas les plus aguerris. L'allée était dallée de milliers de pierres rectangulaires de toutes tailles posées de niveau en quiconce. Elle mesurait environs dix mètres de largeur. Akihiro s'engouffra dans l'allée qui regorgeait de nombreux magasins. Il trouva enfin le commerce qu'il cherchait: la boutique respirait l'âge et la sage et même de loin tous les passants pouvaient sentir les effluves de canfres et de poivres qui émanaient de la charpente en bois. Sur le côté droit de la porte, une grande plaque de bois était mise en valeur. Tous pouvaient lire sur cette dernier quelques mots écris avec une infinie majesté: ~~ Les rouleaux du Bonheur ~~ Sans frapper à la porte, Akihiro entra dans le magasin de calligraphie. Son regard fut immédiatement attiré par le contenu des diverses étagères et alors que ses yeux embrassaient l'établissement dans toute son intégralité, le jeune homme se surpris à détailler chaque recoins. L'intérieur du magasin était constitué uniquement de bois, du squellette de la charpente aux nombreuses étagères ou fenêtres ... tout était en bois. Le comptoir était décoré de deux gros parchemins gravés en relief dans le bois brute et au-dessus on pouvait voir une petite vitrine qui protégeait de la poussière des pinceaux ornés d'or et quelques flacons d'encre qui devaient être d'une qualité supérieure aux autres. Une petite sonnette trônait sur la large table de bois, placé là pour les clients impatients. Dans la vaste pièce, de grandes et larges étagères en bois recelaient une quantité surprenante de livres, de rouleaux ou de parchemins. Pour finir de chaque côtés du comptoir, il y avait des cassiers remplis de pinceaux de toutes tailles et de toutes formes, des flacons d'encre plus ordinaire et de toutes les couleurs et aussi cordelettes pour lier les rouleaux ou les feuilles de parchemin. Dans le magasin une odeur de papier mélangeait à celle de l'encre mais aussi à celle du cirage fraîchement passé embaumait la pièce toute entière. Le calme et la sérénité régnait dans le grand magasin, le jeune homme pouvait presque entendre les rouleaux frétiller. | |
|