Naruto Gaiden
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Naruto Gaiden

Le jeux de rôle dans l'univers du manga
 
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 Fenris Gesshoku [inscription acceptée]

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Naruto Gaiden
Maître des Règles
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Nombre de messages : 411
Date d'inscription : 26/01/2008

Fenris Gesshoku [inscription acceptée] Empty
MessageSujet: Fenris Gesshoku [inscription acceptée]   Fenris Gesshoku [inscription acceptée] Icon_minitimeJeu 31 Jan - 15:17

Nom: Gesshoku
Prénom: Fenris
Age: 15 ans

(Avatar doit être scanné x] )

Nindo: Briller n'est pas tout. Parfois, la Lune masque le Soleil. (Gesshoku signifiant Eclipse de Lune Wink )

Description physique:

Fenris est un jeune homme de taille moyenne, tout comme sa stature. Ni trop musclé, ni trop imposant. Il a une allure féline et apprécie la discrétion et la rapidité. Dans une foule, il pourrait facilement passer inaperçu, s'il n'arborait pas deux grands yeux aux reflets d'émeraude, ainsi qu'une abondante chevelure blanche et hirsute dont la pâleur paraît parfois parcourue de raies bleutés. Deux mèche fines et rebelles retombent devant son nez fin et ses lèvres bien dessinées, au beau milieu de visage somme toute plutôt allongé.
Portant une veste sombre à larges pans, tenue autour de ses hanches par d'épais bandages, la quasi-totalité de son corps est masqué, si ce n'est ses dix orteils qui dépassent des sandales typiques des Ninjas. De longs gentelets de tissu noir recouvrent ses mains et avant-bras, tout en lui laissant une confortable liberté de mouvement.
De temps en temps, il se vêtit aussi d'un masque de métal grisâtre, qui cache toute la partie inférieure de son visage du monde extérieur.

Description mentale:

Lui-même ne sait pas ce qu'il est. De tendance taciturne, il ne se dévoile qu'en de rares occasions, et ne laisse entrevoir que des bribes d'informations. Ayant perdu une partie de ses souvenirs, il doit se reconstruire entièrement, et préfère encore goûter aux joies de la solitude et du calme de la nature, que de retourner s'enfoncer dans les foules compactes des villages, où il se sent mal à l'aise, et étouffe. Assaillit par de nombreux flashes, il a horreur, en ces moments, d'être en public, et s'empresse imédiatement d'aller se réfugier loin de tous pour cacher sa douleur. Son ressenti envers son passé s'arrête cependant là où commence son désir: celui de devenir Ninja, et pour lequel sa détermination sera sans faille, il en est certain.

Histoire: (A la première personne.)

« Où suis-je ? »

Ce furent les premiers mots qui vinrent à mon esprit embrumé, lorsque mes paupières s’ouvrirent lourdement pour fixer le firmament, qui étendait son voile d’or dans la nuit. Je m’asseyais tant bien que mal et tentais de me rappeler les évènements m’ayant amené ici. En vain. Ce n’était que néant et vide qui emplissait ma mémoire. Je pris peur et observai mon environnement : une vaste plaine se prolongeant jusqu’à l’horizon, où les deux se confondaient. Mais toujours aucun souvenir. Je fouillai alors dans mes affaires, et découvris que j’avais dû être ninja, ou l’étais même encore. En effet, une sacoche, vide, pendait lamentablement à ma jambe droite, et un long sabre était attaché à mon flanc. Il s'agissait d'une lame en acier trempé aiguisé comme le fil d'un rasoir. Elle possédait de nombreux reflets bleutés dus à une technique de chauffe particulière. La poignée était entourée à la base de la lame d'un fin tissu mordoré, mais le reste du manche était d'un blanc nacré, luisant, coupé sur toute la longueur d'un trait vermeil, comme tout le reste du fourreau d'ailleurs. Dans le sac que je portais sur le dos, je trouvai quelques rations, des cartes, un bandeau, ainsi que de multiples pages de textes détrempées. Le bandeau était celui de Konoha, mais même la feuille qui se trouvait en son centre ne me rappela rien de nouveau. Je m’attachais donc à déchiffrer les cartes, et me rendis compte que je me situais dans une région proche du village caché d’Iwa. Comment étais-je arrivé là ? C’était justement ce que je m’acharnais à essayer de comprendre. Je pris donc les liasses de papier restantes, pour me trouver face à des lignes et des lignes de texte, écrites à la plume et tachées, voire trouées en certains endroits. L’humidité du lieu avait fait son œuvre, et qui savait depuis combien de temps j’étais seul, au milieu de nulle part ?
Alors même que je commençais à lire ce que j’avais découvert, toujours plein d’espoir, des phrases me revint en tête, subite, que je murmurai alors :


« Je suis un Loup. Je suis Le Loup. Mes poings sont ceux de Tyr. Mon nom est Fenris. Je suis le Grand Loup. Celui brise les chaînes. Rien ne peut me retenir ! De mon sang naissent Espoir et Volonté. Mes yeux voient juste… »

Mes yeux, justement, se posèrent sur les premiers mots. Apparemment, il manquait de nombreuses pages, et dans celles présentes, des paragraphes entiers étaient recouverts de terre. Toutefois, je lus avec intérêt ce qui semblait être une biographie. Quelqu’un avait décidé de laisser une trace de sa vie, et au vu des circonstances, cette personne pouvait très bien être moi-même. Avidement, je dévorai les phrases, les unes après les autres…

Aujourd’hui, par une nuit sans Lune, j’ai décidé de prendre la Plume.
Ayant toujours eu du mal à exprimer mes sentiments directement aux personnes concernées, l’écriture s’est révélée un purgatoire où je venais me réfugier. Au-dehors, de noirs nuages s’amassent sur le monde ninja. Le tonnerre gronde déjà. C’est pourquoi, en cette sombre époque, c’est ma propre vie que j’évoque. Ne sachant pas ce que me réserve l’avenir, j’ai décidé de conter mon passé avant d’en finir.

Je me nomme Ta…

La suite avait été arrachée… Le nom ne me correspondait pas, alors pourquoi avais-je cette si étrange impression que c’était de moi qu’il était question ? Ma tête me fit soudain mal, comme si un feu intense me rongeait de l’intérieur. Je voyais, des morceaux d’images, de souvenirs. Si volatiles… Je ne parvenais pas à les attraper. Ils disparaissaient dès lors que je tentais de m’en approcher. D’autres enfants. Des rires. Ma voix. Une autre, qui me héla. Oui c’était moi, je le sentais. Et Lui*. Il était là, à mes côtés. Tout près… Tout s’arrêta. Flashes, souffrance, mémoire…
Retrouvant mes esprits, je repris donc, quelques pages plus loin.



Mon enfance fut donc tout ce qu’il y avait de plus normal. Cependant, mes aînés fais … reuves de nombres qualités, mon père s’occupait en priorité de leur évolution, plutôt que de passer du temps avec moi. Et lorsqu’il ne se trouvait pas aux côtés de mes frères, il était régul…ent accaparé par des missions pour le village. Je me plaçais donc de moi-même légè…ent en marge de ma famille, et commençai à sortir seul, pour circuler dans la forêt avoisinante, qui se révéla êtr…on lieu de prédilection. Là, je passais mes journées à courir dans les herbes, marchant sur l’humus à l’odeur forte, tentant de grimper dans les arbres les plus frêles et m’inventant des tas d’av…ures dont moi seul avait le secret. Je commençais aussi à développer quelques-unes des aptitudes qui pourraient me servir si un jour je venais à entrer à l’Académie, à savoir le lancer d’armes de jets. Dès lors que j’ai eu cinq ans, je faisais d’incessants allers-retours entre la forêt et la maison, piochant dans les réserves de pr…jectiles pour aller ensuite m’exercer pendant des heures. Peu à peu, je comprenais comment fonctio… le principe de l’autodidactie, et appréciais même ces longs moments de solitude, que ne brisaient que les bruits fabuleux de la nature.
Toutefois, en de rares occasions, l’un de mes frère, voire les deux, m’accompagnaient dans mes excursions, et bien qu’ils ne participaient pas directement dans mon apprentissage, ils me conseillaient souvent sur telle ou telle façon de tenir un shuriken, l’art et la manière de dégainer rap…ment et sans bruit un kunai… Ce fut donc ces petites joies, ces bonheurs simples d’être ensemble, avec … …, ou encore mes parents, qui composèrent ma plus tendre enfance.

La suite ayant été lourdement endommagée, je m’efforcerai donc d’en faire un résumé. La plupart des noms avaient étrangement disparu, et les seules choses que je pus savoir furent que j’avais atteint le grade de Genin, accompagné d’un professeur que je semblais adorer, et possédais quelques amis. Suite à de sombres moments, je me retrouvais seul, et continuais à m’entraîner ardemment. Malheureusement, je ne pus déceler aucune information concernant des faits plus récents, et je décidai de rejoindre Iwa, poussé par un désir que je m’expliquais pas de redevenir ninja, croyant au plus profond de moi-même que cela m’apporterai des réponses aux indénombrables questions qui tourbillonnaient dans ma tête.

Le lendemain, j’atteignais un visage avoisinant ma destination, et, par le biais de travaux plus ou moins ingrats, j’obtins pitance et logis pour la nuit. Le matin suivant, je partis après une bref ‘merci’, et reprenais la route. Au détour d’une étroite ruelle, un groupe de gamins, à peine plus âgés que moi, accompagnés d’un homme immense m’interpella, d’une façon qui explicitait clairement un désir matériel de leur part. Je fis fi de leurs appels, et continuai ma route, bientôt rattrapé par ce qui semblait être leur chef, qui m’agrippa violement le bras pour me mettre face à lui.


[Voyou] « Non mais tu te prends pour qui ? Tu crois vraiment que tu peux nous ignorer ? Tu crois vraiment qu’on va te laisser partir tranquillement ? Tu te fous de nous !! »

Cinq. Ils étaient cinq. Cette information me sauta aux yeux. Aucun ne portait d’armes apparentes. Je clignai des yeux, ne comprenant pas pourquoi je récoltais ces détails et les ancrais dans ma mémoire. Soudain, l’homme, grand, musclé, bâti comme une armoire, qui me tenait, arma son poing, et le jeta en avant, avec pour cible mon nez. Dans un sursaut, je pivotai mon torse et évitai de peu un coup qui m’aurait assommé pour longtemps. Déséquilibré, le colosse bascula en avant. Se rattrapant de peu, il tourna vers moi de petits yeux injectés de sang. Visiblement, il n’avait pas l’habitude que de petits adolescents lui tiennent tête. Moi-même, je n’avais pas réagi volontairement…

[Voyou] « S’en est trop ! Je vais te buter ! Ensuite, je te dépouillerai, et je laisserai ton put*n de corps pourrir dans la rue ! »

« Tu me hais déjà… La haine et un sentiment idiot, tout comme le désir de vengeance, puisqu’ils entraînement tous deux de la souffrance. C’est un cercle vicieux, le premier mouvement perpétuel que l’homme aurait créé dans sa folie ? Si tu me frappes, peut-être voudrai-je te frapper à mon tour. Nous souffrirons tous les deux, et ainsi de suite. Si quelqu’un venait à tuer une autre personne, sa famille en en serait profondément touchée, et elle nourrirait à l’encontre du tueur, si ce n’est de la haine, une certaine rancune… »

[Voyou] « Ferme-là, minable !! »

Il fonça alors sur moi, et mon corps se décala sans mon ordre sur le côté, puis mon coude s’abattit violemment entre ses omoplates. Le géant chuta lourdement et, me regardant, me trouva à genou, me tenant les mains contre les tempes, retenant des hurlements de douleur. Me prenant pour un fou — et qui sait s’il n’avait pas raison ?—, il s’empressa de prendre la fuite, rejoignant ses comparses qui étaient tout du long restés en retraits.
Le sang battait fort à mes oreilles, j’avais l’impression que j’allais exploser… Toujours ces visions… Je savais… Je savais que… je n’étais pas seul. Pourquoi les portes de mon passé restaient-elles résolument closes ? Pourquoi ? POURQUOI ?
Il était là, encore auprès de moi, comme j’avais été auprès de lui pendant si longtemps… Il ne pouvait être mort, ni avoir déserté ce corps… Notre corps. Ta… Je tombai. Inconscient.

Alors que la Lune brillait haut dans la nuit, je me relevai, toujours aussi seul, et me mis à courir. Après plusieurs heures de randonnées, le village caché de la Roche apparut enfin. Surplombant les plaines sur gigantesque plateau rocheux, il était entouré de décors totalement différents, suivant l’endroit des terres où l’on se trouvait. Forêts, Canyons, zones arides… Un paysage de rêve pour tout ninja qui se respecte. Plusieurs pas plus tard, j’atteignais finalement, deux jours seulement après mon réveil, les portes principales de la cité. Serrant mon bandeau, je le pliai soigneusement, avant de l’enfouir au fond de mon sac. Une nouvelle vie commençait. Une vie qui serait marquée par la présence d’un passé inconnu. Fondée dans l’espoir de rejoindre mémoire et présent…

Flottant dans la brise, une Plume,
Tournoie lentement sous la Lune.

Renaissance.
Souvenirs.
Soupir.
Oubli.



Aime: La Solitude, la Nature, la Lune.
Aime pas: Ne pas savoir, les personnes s'attaquant au plus faibles, les hypocrites, et certains sentiments dont il ne comprend pas l'utilité ni la raison d'être.

Village: Iwa, bieng sûr Smile


Caractéristiques:
Spécialité: Techniques d'Armes CàC et Distance.

Genjutsu: 2
Ninjutsu: 6
Taijutsu: 7

Force: 6
Vitesse: 7
Intelligence: 2

PV: 18

PC: 6
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